Laure du Faÿ, Mon tour du monde géant des animaux
Une série de six planches colorées, pour apprendre à reconnaître les animaux, les petits comme les grands.
Une série de six planches colorées, pour apprendre à reconnaître les animaux, les petits comme les grands.
L’automne est bien là. Les deux escargots « Raymond et Juliette se dépêchent de rentrer. Les limaces suivent, mais les souris hésitent. » Il s’agit de trouver un petit coin tranquille pour hiberner…
Pour avoir désobéi et s’être moqué d’un tomte, le jeune Nils rapetisse – pas plus haut que trois pommes ! Et le voilà assis sur le dos de Martin, le grand jars blanc, qui, bien que domestique, décide de suivre un vol d’oies sauvages… Et c’est là que les ennuis commencent.
« Buck ne lisait pas les journaux. Sinon, il aurait su qu’une menace planait sur lui, comme sur tous les chiens à la musculature robuste et au pelage dru et chaud, de détroit de Puget jusqu’à San Diego. » Cette menace, ce sont ces aventuriers, ces hommes sans foi ni loi qui, pour quelques onces de métal jaune, vont affronter les pires périls du Klondike…
« La vie est charmante », susurre George l’ours brun. « Youpi tralala et tout ça. Mais quoi d’autre ? » Pêcher, jouer… Certes… jusqu’au jour où « George trouve dans la forêt un livre abandonné au pied d’un arbre ». A qui peut bien être ce livre ?
« Apprendre, apprendre… oui, mais où ? Il n’y a pas d’école ici dans la forêt », se désole Henri, le petit hérisson. Sim, la souris, est la seule à savoir lire, un plaisir que lui envient tous ses amis.
« Futé le chimpanzé ! Malin le dauphin ! Finaud le corbeau ! Qui pense encore que les bêtes sont bêbêtes ? Se débrouiller dans le monde sauvage demande de la mémoire, de l’astuce, la capacité d’inventer et de communiquer », explique Fleur Daugey qui, à ses compétences d’éthologue ajoute un réel talent narratif.
« Dans sa maison un grand cerf
regardait par la fenêtre
un lapin venir à lui
et frapper à l’huis… »
Jeux de piste, chasse au trésor, feux de camp, nuits à la belle étoile… Qui ne rêverait de devenir un vrai louveteau ?
« C’est le matin et une boule de poils cachée sous une couverture de fougères refuse de se lever. » Petit Ours finit par l’avouer avec maladresse : « Je ne veux pas aller à la rentrée des classes. » Grand Ours – Papa ou Maman, on ne sait pas – prend néanmoins la main de Petit Ours, et, tout en cheminant, répond à ses questions.