Jean Maubille, Tu ne me reconnais pas ?
« J’ai une belle paire de gants blancs. » Mais encore ? Un manteau rouge et une barbe blanche, longue et douce. Mais oui ! Je suis saint Nicolas !
« J’ai une belle paire de gants blancs. » Mais encore ? Un manteau rouge et une barbe blanche, longue et douce. Mais oui ! Je suis saint Nicolas !
Quel est donc ce menuisier qui, dans son atelier de Bethléem, a fabriqué pour sa douce épouse un si beau berceau ? Et pourquoi donc ne vient-il pas s’y blottir, l’enfant tant attendu ?
« ‘La fête des gnomes ne regardent que les gnomes, a dit mon père. Un enfant n’a rien à y faire, même s’il est soi-disant leur ami.’ […] La famille croit que je ne songe plus à la fête des gnomes, alors qu’en réalité, je ne pense qu’à cela. Mon sac à dos est fait, bien caché sous mon lit. »
Dans le second numéro du magazine Tétras Lire, sorti en novembre, les jeunes lecteurs retrouveront une forêt de légende : la forêt de Brocéliande. « Yvain ou la dame de la fontaine » leur fera revivre les aventures des chevaliers de la Table ronde.
« Notre histoire commence sur des collines où pousse à perte de vue une forêt d’arbres de Noël. C’est là qu’un jour un petit sapin fut planté, mais planté si négligemment que, lorsque le vent souffla fort, il tomba sur son voisin et n’eut pas la chance de grandir. » Tout petit et de traviole, notre sapin devient néanmoins le héros de ce conte de Noël.
Pour avoir désobéi et s’être moqué d’un tomte, le jeune Nils rapetisse – pas plus haut que trois pommes ! Et le voilà assis sur le dos de Martin, le grand jars blanc, qui, bien que domestique, décide de suivre un vol d’oies sauvages… Et c’est là que les ennuis commencent.
« Il était une fois un jeune et talentueux musicien nommé Orphée. Sa mère, Calliope, n’était pas une femme ordinaire : elle était l’une des neuf Muses, filles du dieu Zeus, qui présidaient aux arts et aux sciences. Entouré par ces neuf déesses, Orphée apprit très tôt le chant, la poésie et la musique. »
« Il était une fois une petite ville d’Allemagne, Hamelin, où les habitants étaient si avares qu’ils comptaient toutes leurs dépenses. » Jusqu’à chasser les chats, bien inutiles à nourrir. Inutiles ? Voire. Car les rats, sans prédateurs, prennent possession de la ville.
Dans le petit village de Dorta, chaque veille de Noël, les villageois célèbrent le carnaval du dragon des montagnes à grand renfort de tambourinades. Le jour de Noël, après une marche aux flambeaux animée du son des cloches, un conteur est tiré au sort pour faire revivre l’histoire du dragon.
Une version du conte de Grimm… sans texte ni parole ! A vous donc, adultes, de bien vous remémorer le conte avant de le raconter. Car il ne s’agit pas de se tromper ni d’inverser les épisodes ! Pas plus que de sauter des pages pour mettre directement la sorcière au four !