Steve Jenkins, Insectes – Coléoptères
Steve Jenkins a une manière bien à lui de mettre en valeur l’esthétique des animaux qu’il met en scène dans ses livres : il en découpe patiemment les formes dans des papiers de couleur.
Steve Jenkins a une manière bien à lui de mettre en valeur l’esthétique des animaux qu’il met en scène dans ses livres : il en découpe patiemment les formes dans des papiers de couleur.
« Napoléon, à demi-chaussette… fait sa cour à Jaquelinette », tel est, dit la légende, le refrain moqueur des premiers camarades de jeu du jeune Napoléon.
Ce château auvergnat qui domine la Sioule sert de toile de fond aux aventures de Paul, 11 ans, et de sa sœur Marie, 9 ans. Pendant que leur papa écrivain leur raconte moult anecdotes historiques, ils n’ont de cesse de chercher à mieux connaître celle que tout le village appelle la « sorcière ». Mais qui ne l’est pas tant que cela, bien entendu.
Après les Fables illustrées par Benjamin Rabier, les éditions Langlaude, à l’affut des beaux albums qui tombent actuellement dans le domaine public, proposent un autre choix de fables illustrées par Jean-Jacques Grandville (1803-1847), connu pour ces caricatures où les hommes politiques se voyaient affublés de têtes d’animaux.
Les visages énergiques de ces marins revivent sous le crayon de Guy Sajer et animent ces conversations sympathiques « entre hommes ».
Ce volume propose un choix de 28 poèmes de Victor Hugo, des plus célèbres.
L’Écosse ne serait pas l’Écosse sans ses châteaux hantés, ses landes, ses brouillards et ses fantasmagories, ses « enchantements », dont le plus célèbre reste le monstre du Loch Ness.
De chérubins fessus en Jésus rebondis, de petits princes en robes chamarrées en garnements vêtus de courants d’air, que de visages prend l’enfance sous le pinceau des plus célèbres artistes !
L’album, illustré avec beaucoup de goût, jusque dans les horreurs, les crimes et les combats, retrace le long voyage de retour d’Ulysse aux mille ruses : les Lotophages, le Cyclope, Circé la magicienne, les Sirènes, la nymphe Calypso, tempêtes et naufrages, autant de récits palpitants, avant le retour à la maison.
Prenez quelques renards chez La Fontaine, un ou deux écureuils chez Benjamin Rabier, un aigle chez Kipling et quelques papillons proustiens, et vous n’aurez qu’un aperçu du bestiaire désopilant de Christian Garcia !