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Basile Plumagile, L’architecture vue par les pigeons

Basile Plumagile, L’architecture vue par les pigeons

Basile Plumagile est un pigeon voyageur qui, s’il est fort bavard, est aussi féru d’architecture. Voir les plus célèbres monuments « à vol d’oiseau », n’en avons-nous pas tous rêvé ? De la tour Eiffel au palais des Doges, du viaduc de Millau à l’opéra de Sydney, de Big Ben à la tour de Pise, Basile Plumagile a visité plus de 40 monuments des plus célèbres. Son ton vif, son humour et sa science font bon ménage pour une initiation intelligente à l’architecture, servie par les superbes dessins et collages de Natsko Seki.

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Françoise de Guibert, Vassilia et l’ours

Françoise de Guibert, Vassilia et l’ours

Cet ours a une drôle d’idée : il rêve de visiter l’isba de son amie Vassilia… Un rêve dangereux, quand on sait que les villageois ont le fusil facile. Laura Fanelli dépeint ici une Russie toute enneigée, un peu mystérieuse, mais si accueillante dans la douce chaleur du poêle ! Sous la plume de Françoise de Guibert, un joli conte d’hiver sur l’amitié qui réchauffe le cœur.

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Gwenaële Barussaud, Les Demoiselles de l’Empire, t. 1 : Héloïse, pensionnaire à la Légion d’honneur

Gwenaële Barussaud, Les Demoiselles de l’Empire, t. 1 : Héloïse, pensionnaire à la Légion d’honneur

Février 1811. En ce jour d’hiver, la jeune Héloïse Boisseau, 15 ans, franchit la porte de la Maison d’éducation de la Légion d’honneur, fondée en 1805 par Napoléon. Un roman historique bourré de références à la vie quotidienne d’une jeune fille sous l’Empire et la Restauration, émaillé d’anecdotes très crédibles sur la vie de l’école.

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Pauline de Vençay, Royalement vôtre

Pauline de Vençay, Royalement vôtre

Printemps 1815, le marquis de Brétigues– ennemi juré de Napoléon — et sa famille ont quitté Paris pour s’abriter dans leur logis vendéen. Mais sont-ils vraiment à l’abri ? Derrière les apparences mondaines ou dans les communs, se cachent de curieux personnages… Qui a intérêt à faire disparaître le jeune Emile, justement embauché comme maître d’hôtel ? Henriette de Brétigues, 17 ans, et ses frères jumeaux Edouard et Côme, se lancent à sa recherche. Sur un thème original, Pauline de Vençay signe ici un roman historique plein d’allant, où l’on se surprend à chevaucher dans le bocage, à suivre de fausses pistes, à partager les inquiétudes des jeunes héros, avant que ne gagnent le courage et les beaux sentiments.

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Magdalena, La Princesse Tralala

Magdalena, La Princesse Tralala

AEIOU, AEIOU, AEIOUCHA CHE CHI CHO CHU… Faire des vocalises, c’est la solution qu’a trouvée la princesse Tralala, qui « s’ennuyait dans son château » : elle voulait « devenir chanteuse d’opéra, en attendant qu’un prince vienne la sortir de là ». Comme le précise Magadalena, c’est une histoire « qui joue avec les voyelles », une histoire farfelue et un soupçon insolente, car le château n’en est pas vraiment un – quant au prince… D’autant plus farfelue que le trait de Gwen Keraval se prête à merveille aux aventures de notre petite princesse !

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Annie Jay, Jean, petit marmiton, la galette des rois

Annie Jay, Jean, petit marmiton, la galette des rois

Annie Jay, Jean petit marmiton — la galette des rois (tome 7) ‑Le tome 7 des aventures de « Jean, petit marmiton », est de saison : il s’agit de fêter l’Epiphanie ! Et, « le jour des Rois, c’est celui où l’on s’amuse le plus dans les cuisines » de Versailles. Maître Mathieu a cuisiné une délicieuse galette – dont la recette se trouve à la fin de ce « vrai roman à lire tout seul ». Qui dit galette, dit fève et qui dit roman dit aventures !

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Charles Perrault (d’après), Cendrillon

Charles Perrault (d’après), Cendrillon

Cette adaptation du conte de Cendrillon de Perrault se présente sous la forme d’un livret, d’un carrousel de décors et de figurines en carton dessinés par Lucia Calfapietra : Cendrillon, le prince, la bonne fée – mais aussi le carrosse et les décors du château. Des ciseaux et un peu de colle suffiront donc à rejouer les plus belles scènes de la féerie.

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Roberto Innocenti, Mon bateau

Roberto Innocenti, Mon bateau

- « Voici mon bateau. Il est en train de couler », explique le narrateur, son capitaine qui, avec son équipage, a pris place dans une chaloupe bien secouée dans la tempête. « Tous les deux, nous avons fait le tour du monde. Il s’appelait le Clementine. » Et Dieu sait qu’il l’aimait son bateau… Construit dans les années 1930, il a navigué sur toutes les mers du globe, dans la guerre et dans la paix. Roberto Innocenti nous offre ici un beau voyage, très émouvant, à bord de ce XXe siècle encore si proche.