Heinrich Böll, La leçon de pêche
Le romancier allemand Heinrich Böll (1917-1985) écrit ici une fable désopilante sur l’économie de marché et sur les aspirations non monnayables à une vie plus simple.
Le romancier allemand Heinrich Böll (1917-1985) écrit ici une fable désopilante sur l’économie de marché et sur les aspirations non monnayables à une vie plus simple.
Cinq fillettes en robes à pois et cinq loustics en culottes rayées décident de déménager. Sans doute n’ont-ils que la rue à traverser, car si la maison qu’ils quittent est sur la page de gauche, leur nouvelle maison est… sur la page de droite !
Au fil des pages, vous rencontrerez les amis de notre héros, mais aussi le caribou, le harfang des neiges, le narval et l’ours polaire – car sans ours, point de conte !
Ce « trésor » regroupe les aventures des deux chatons, le tout blanc et le tout noir. Quoique, après certain passage dans la cheminée ou certaine bataille de boules de neige…
C’est un petit livre est la version cartonnée et adaptée aux plus petits du fameux C’est un livre. Est-ce que ça se machouille ? Est-ce que ça fait coin-coin ? Est-ce qu’on peut en faire un chapeau ou un toit ? Eh non, « petit âne, c’est un livre ! ».
Amusant et coloré: suivez le tumultueux voyage de ce grand drakkar noir. Quelle aventure !
Pas de problème, petit roi, vos désirs sont des ordres ! Oui, oui, oui… Trop facile ! Alors, le petit roi s’en va à la recherche de quelqu’un qui saurait lui dire non.
Pourquoi Peyo s’appelle-t-il Peyo ? En voilà une question d’adulte ! Parce que son petit cousin ne savait pas prononcer Pierrot, lui-même diminutif de Pierre, Pierre Culliford, inventeur de ce petit peuple sympathique. Un grand merci au schtroumpfologue et néanmoins américain Matt Murray pour cette anecdote.
Les fables dessinées et contées par Benjamin Rabier sont inséparables de ce bon sens paysan, qui voit dans la sottise, la cupidité et la vanité des défauts dont de joyeuses facéties viennent vite à bout.
Un petit chef-d’œuvre d’humour noir, où Mérimée se moque des provinciaux vexés de n’être pas Parisiens, des nouveaux riches et surtout des pédants qui parlent latin – une espèce, il est vrai, aujourd’hui disparue. Un petit chef-d’œuvre de littérature fantastique aussi, teinté de paganisme poétique : car nul n’offense Vénus impunément !