Les Trésors de Pierre Probst
Ce « trésor » regroupe les aventures des deux chatons, le tout blanc et le tout noir. Quoique, après certain passage dans la cheminée ou certaine bataille de boules de neige…
Ce « trésor » regroupe les aventures des deux chatons, le tout blanc et le tout noir. Quoique, après certain passage dans la cheminée ou certaine bataille de boules de neige…
C’est un petit livre est la version cartonnée et adaptée aux plus petits du fameux C’est un livre. Est-ce que ça se machouille ? Est-ce que ça fait coin-coin ? Est-ce qu’on peut en faire un chapeau ou un toit ? Eh non, « petit âne, c’est un livre ! ».
Amusant et coloré: suivez le tumultueux voyage de ce grand drakkar noir. Quelle aventure !
Pas de problème, petit roi, vos désirs sont des ordres ! Oui, oui, oui… Trop facile ! Alors, le petit roi s’en va à la recherche de quelqu’un qui saurait lui dire non.
Pourquoi Peyo s’appelle-t-il Peyo ? En voilà une question d’adulte ! Parce que son petit cousin ne savait pas prononcer Pierrot, lui-même diminutif de Pierre, Pierre Culliford, inventeur de ce petit peuple sympathique. Un grand merci au schtroumpfologue et néanmoins américain Matt Murray pour cette anecdote.
Les fables dessinées et contées par Benjamin Rabier sont inséparables de ce bon sens paysan, qui voit dans la sottise, la cupidité et la vanité des défauts dont de joyeuses facéties viennent vite à bout.
Un petit chef-d’œuvre d’humour noir, où Mérimée se moque des provinciaux vexés de n’être pas Parisiens, des nouveaux riches et surtout des pédants qui parlent latin – une espèce, il est vrai, aujourd’hui disparue. Un petit chef-d’œuvre de littérature fantastique aussi, teinté de paganisme poétique : car nul n’offense Vénus impunément !
Au Japon, la rentrée scolaire a lieu au printemps. Pour les sept souriceaux d’Iwamura aussi ! Et avec autant de malice que chez nous la veille du grand jour. Chacun y va de son couplet : le froid, le sommeil, la peur des autres… jusqu’à l’ultime et imparable « je ne veux pas y aller parce que je ne veux pas ! ».
Quand revient la saison des cèpes, pourquoi ne pas lire quelques contes périgourdins ? Il s’y cache souvent une bonne recette, ou le souvenir ému d’un festin de roi, à la fin duquel un troubadour fait sonner sa viole.
« Le tueur de lions, stupéfait, se frotta les yeux… Lui qui se croyait en plein désert !… Savez-vous où il était ?... dans un carré d’artichauts, entre un plant de choux-fleurs et un plant de betteraves. Son Sahara avait des légumes... » Inoubliable Tartarin !