Hans Christian Andersen, La Petite Poucette
Aller demander à une vieille sorcière le moyen d’avoir un enfant, cela n’est pas sans risque… La Petite Poucette n’en fit pas moins le bonheur de ses parents, jusqu’à son enlèvement par un vilain crapaud.
Aller demander à une vieille sorcière le moyen d’avoir un enfant, cela n’est pas sans risque… La Petite Poucette n’en fit pas moins le bonheur de ses parents, jusqu’à son enlèvement par un vilain crapaud.
Quand le grand explorateur Paul-Émile Victor (1907-1995) écrit et illustre cet album, nous sommes encore à l’époque où l’on dit Esquimau et non pas Inuit, où les papas ont des fusils et les enfants des couteaux, où l’ethnologue le plus respectueux ose montrer le joyeux désordre qui règne dans une hutte esquimaude…
Dans ces montagnes pyrénéennes, il y a des hommes – des chasseurs, des bergers, des sabotiers, des gendarmes. Des animaux domestiques, des chiens, des vaches, des brebis. Des animaux sauvages, des belettes, des lièvres, des vautours, des sangliers et tant d’autres. Et il y a des isards – les cousins des chamois des Alpes
Qui n’a jamais tremblé aux aventures de cette petite chèvre éprise de liberté ? Qui n’a jamais rêvé de batifoler avec Blanquette dans « les maquis et les buissières, tantôt sur un pic, tantôt au fond d'un ravin » ? Et qui n’a pas écrasé une larme en lisant la dernière, l’ultime phrase du conte : « Alors le loup se jeta sur la petite chèvre et la mangea » ?
Quand l’auteur vivait en Angleterre, près d’Oxford, à la fin des années 1980, il habitait à côté d’une ferme modèle, où les hommes, « comme autrefois », respectaient le cycle des saisons et vivaient en harmonie avec la nature.
L’un après l’autre, emberlificotés par divers sortilèges de la Femme, les animaux se laissèrent domestiquer. Tous, sauf un… car, le Chat, « ni ami, ni serviteur », préféra conserver sa liberté.
A Célesteville, Babar est inquiet. Il a réuni tous les éléphants au palais du Travail.
« Chers amis ! L’heure est grave. Notre histoire est en danger ! Cornélius s’est aperçu que nos albums rapetissaient de jour en jour. »
Delphine et Marinette « avaient peint d’une si grande ardeur que leur façon de voir s’était très vivement imposée à leurs modèles ». Résultat ? L’âne n’a plus que deux pattes, le cheval a rapetissé, quant aux bœufs…
Pour les petits qui entrent à l'école maternelle, il s'agit tout d'abord de quitter papa, maman et la maison. Et de faire connaissance avec une personne très, très importante: la maîtresse! Avec pour compagnon Petit Ours Brun, dont la bonhomie traverse les décennies.