Andersen, La Reine des neiges
Un conte pour grandir, pour ressentir le besoin vital de poésie et pour s’initier à l’éternel retour, sous le regard bienveillant des anges.
Un conte pour grandir, pour ressentir le besoin vital de poésie et pour s’initier à l’éternel retour, sous le regard bienveillant des anges.
Comme les enfants aiment se blottir les uns contre les autres pour savourer ensemble de bonnes histoires ! Le temps de l’Avent au cœur de l’hiver offre de merveilleuses occasions de partage complice autour de pages qui suscitent le rêve et l’admiration.
Créateur de jouets et de meubles d’enfants autant qu’illustrateur, André Laclôtre, dit Hellé, est un peu magicien : la première page tournée, l’on ne sait plus très bien si l’on est au zoo devant des tigres bien vivants ou sous la table de la salle à manger, avec des silhouettes de bois peint, tant son humour et sa fantaisie sont contagieux.
Cet hymne à la nature et à la liberté, s’il a pour cadre le Grand Ouest américain, n’est en rien une caricature. Bien au contraire, il fait entrer de plain pied dans un univers riche de ses légendes comme de ses réalités. Les illustrations, très colorées et contrastées, ont les teintes des tissages traditionnels.
25 février 1429, Chinon. « Gentil dauphin, j’ai nom Jeanne la Pucelle… Je te dis, de part Dieu, que tu es vrai héritier de France et fils de roi. » Les grandes dates de la courte vie de Jeanne servent de jalons à un récit simple, mais jamais simpliste.
Le Renard, le Corbeau, le Chat, la Belette et le Petit Lapin prennent leurs ébats dans des paysages inspirés de tableaux célèbres. Mais lesquels ? Des illustrations à la manière de gravures anciennes coloriées, d’un trait léger, élégant et drôle à la fois.
Dix-sept dieux vikings et un très beau panorama de la civilisation nordique, sous la bonne garde de Mimir, dieu de la mémoire.
Une anthologie des grands classiques de la poésie « scolaire », avec des illustrations joyeuses et toniques, dans un beau format. Pour entrer par la grande porte dans la culture classique.
Paris ? Londres ? Rouen ? Si cette ville n’est pas nommée, sa situation au bord d’un fleuve, la présence des Romains, puis des Vikings, nous fait déjà deviner que nous sommes quelque part en Occident.
Loin de s’approprier l’écriture des contes, Viviane Koenig et Masako Mizuta se sont bornés à les « mettre en paroles », une démarche modeste tout à leur honneur.