Christine Palluy, Les contes de Bretagne
Christine Palluy a retravaillé la « matière de Bretagne » et présente dans ce recueil huit belles histoires, huit contes traditionnels, avec leurs lutins, leurs morgans et leurs korils.
Christine Palluy a retravaillé la « matière de Bretagne » et présente dans ce recueil huit belles histoires, huit contes traditionnels, avec leurs lutins, leurs morgans et leurs korils.
Choisissez 25 animaux, et illustrez la première lettre de leur nom, de A à Z, par une lettrine d'inspiration médiévale et voilà un abécédaire animalier frais, gai et lumineux.
Cet album présente 14 incroyables « remèdes » mis au point par les animaux sauvages, pour se protéger, se nettoyer ou se soigner.
Les « héros » de ces 33 poèmes sont les arbres, les vergers, les bois et les forêts, ceux qui nous invitent à la promenade, à la cueillette, au rêve.
Crocodiliens, reptiles, serpents, tortues d’eau et de terre – ces animaux fascinent les enfants, toujours aux premières loges des terrariums et autres vivariums. Enfin, du bon côté de la vitre ! Cet album documentaire est idéal pour compléter une visite.
A la rescousse de Tonton Antoine est l’un des nouveaux mini-romans de la série Emma et Loustic, destinée aux apprentis lecteurs, « un vrai roman à lire tout seul ».
Alors, ces bestioles, où se cachent-elles ? Comment se déplacent-elles ? Quelles sont leurs petites manies ? Rien de mieux pour les observer que de les attraper – enfin, pas toutes !
Ce « Manuel de savoir-vivre à l’usage des jeunes gens comme des jeunes personnes destiné à servir de guide dans la conduite quotidienne de la vie en société » est une parodie succulente, riche en conseils pour survivre à toute situation absurde.
Le rêve de Gaël, le jeune tailleur de pierre, « était de participer à la construction de l’immense cathédrale qui commençait à s’élever sur l’île de la Cité. En souvenir de son village, il emmenait avec lui, dans une cage de voyage tapissée de mousse, un couple de colombes qu’il avait apprivoisé ».
Au XIXe siècle, la bonne éducation de la haute société anglaise se terminait par un voyage à Rome et en Italie. Un voyage dont Richard Deakin rêve « depuis que sa grand-mère lui racontait les mille et une histoires de l’empire Romain ».