Benjamin Rabier, Les Contes du lapin
Les fables dessinées et contées par Benjamin Rabier sont inséparables de ce bon sens paysan, qui voit dans la sottise, la cupidité et la vanité des défauts dont de joyeuses facéties viennent vite à bout.
Les fables dessinées et contées par Benjamin Rabier sont inséparables de ce bon sens paysan, qui voit dans la sottise, la cupidité et la vanité des défauts dont de joyeuses facéties viennent vite à bout.
« Dès sa naissance, Mistral s’est mis debout sur ses longues jambes », comme tous les poulains qui viennent au monde. Mais à rebours des autres juments, sa mère n’avait pas de lait, et l’a rejeté. Dans cette Camargue tout entière vouée aux chevaux, c’est le jeune Pierrot qui va veiller sur le poulain.
Au Japon, la rentrée scolaire a lieu au printemps. Pour les sept souriceaux d’Iwamura aussi ! Et avec autant de malice que chez nous la veille du grand jour. Chacun y va de son couplet : le froid, le sommeil, la peur des autres… jusqu’à l’ultime et imparable « je ne veux pas y aller parce que je ne veux pas ! ».
Quand Cigalou s’en va dans la montagne, il y découvre la liberté de courir dans la forêt et dans les alpages, mais aussi la gaité et, surtout, la bienveillance et la sollicitude.
Trois jeunes tambours, En passant par la Lorraine, Sur la route de Dijon… Autant d’airs à entonner en famille sur la route des vacances. Foin des CD ou, pis encore, de ces DVD regardés en boucle sur le siège arrière ! Osez la convivialité ! Vous chantez faux, et alors ?
"Ce sera notre prochain prince." Telle est la prédiction du lièvre quand il vit un certain petit faon montrer son doux museau sur l’herbe fraîche de la clairière. En effet, « par une belle journée de printemps, Bambi vint au monde. Tous les animaux de la forêt étaient venus fêter sa naissance ».
Un Abécédaire, où chaque lettre ouvre sur un conte ou une historiette illustrés.
voici 24 chansons, avec leurs partitions et des illustrations au pochoir, doucement mises en couleurs. Des chansons douces, mais réalistes, où les mûres des chemins creux laissent des épines au bout des doigts.
Comment mieux chasser l’hiver qu’à coup de cloches et de masques ? Dans son petit village d’Engadine, le jeune Ursli a décidé que, non, il ne suivrait pas le cortège avec cette ridicule clochette de chèvre. Ce qu’il lui faut, c’est une belle, une grosse cloche de vache pour mener le tintamarre.
Ce texte très émouvant d’Oscar Wilde est trop souvent considéré comme un conte. J’y vois plutôt une parabole. En effet, nous dit le dictionnaire, une parabole est un « court récit allégorique, symbolique, de caractère familier, sous lequel se cache un enseignement moral ou religieux ». Le Géant égoïste est tout cela, puisqu’il y est question de vie, de pardon et d’amour. Un superbe récit pour le temps pascal.