Hector Dexet, Le Chevalier
« Pour être un chevalier, il faut… un casque, une épée, une armure, un bouclier et du courage ! « Notre petit chevalier n’en manque pas !
« Pour être un chevalier, il faut… un casque, une épée, une armure, un bouclier et du courage ! « Notre petit chevalier n’en manque pas !
« Archibald et son papa regardent les hirondelles partir de l’autre côté de la terre : "Moi aussi je pourrai aller aussi loin, quand je serai grand ? demande Archibald. Encore plus loin que ça, répond son papa.»
« Dans sa maison, un grand cerf regardait par sa fenêtre… » Qui ne connaît pas la comptine, et les mimiques qui aident à la chanter ? Dans cet album, après le lapin vient le renard, et après le renard… le chasseur.
« Quelque part une abeille » - quel étrange début pour un album destiné aux tout-petits. Que fait-elle, cette abeille ? La page tournée, Mary Lyn Ray nous confie qu’elle « se prépare à dormir dans une rose, car c’est bientôt la fin du jour ».
« Au début, il n’y avait rien. Rien du tout. » Imaginez une chambre si bien rangée que rien ne traîne. Enfin si, « ici ou là, il y avait quelques arbres. Mais ce n’était presque rien ».
« La moitié de l’année est écoulée. Voici les beaux jours d’été qui s’installent. Il est temps de sortir tee-shirts, casquettes et sandalettes. Les fleurs des arbres sont maintenant devenues de beaux fruits. Les cerises et les fraises, toutes rouges, sont prêtes à être dévorées.
A force de travailler comme un fou, notre ami castor finit par se faire tomber un arbre sur la tête. Le voilà à l’hôpital avec « une queue tordue, deux pattes cassées, trois côtes brisées, quatre gros bleus, cinq doigts foulés, six orteils retournés »
« Mon papa a un travail si bizarre et si compliqué qu’il n’a jamais réussi à me l’expliquer. Tour ce que je sais, c’est qu’on doit déménager très souvent. Mon papa n’aime pas les objets carrés carrés et, à chaque fois qu’on change de maison, il déniche toujours la plus dingue du quartier. »
« Pour voler, la coccinelle écarte ses deux ailes rouges appelées élytres… La coccinelle peut voler jusqu'à 2000 mètres (2 kilomètres) d’altitude. » Et pour se défendre ? Elle « fait la morte. Elle se met sur le dos et replie ses pattes… »
« Fuyons, fuyons ! crie le petit poisson. Sinon, sinon… nous allons servir de festin à ce redoutable requin. » Dans cet imagier découpé, se suivent et se poursuivent une grenouille, un hippocampe, une pieuvre…