Une bibliothèque enfantine idéale
Une bibliothèque enfantine idéale
Si Pépé Ours a pris un coup de vieux, Petite Ourse, elle, a grandi. A eux deux, ils sauront décrocher une énorme ruche. Miam ! Qu’il est bon, ce miel ! Un album tout doux sur la relation des enfants avec leurs grands-parents.
En digne émule du Baron perché d’Italo Calvino, le jeune Noah construit, ou rêve de construire, une cabane extraordinaire – ma cabanamoi. Au fil des pages, il trouve autant de plaisir à vivre au-dessus des adultes qu’à jouer avec les mots ! Et la cabanamoi de grandir, grandir, grandir…
Connaissez-vous le crissgrif ? le sluuurp ? le cuisinosaure ? Ce sont quelques-uns des monstres qui se réveillent la nuit dans la maison de Lola. Jouant sur des ombres chinoises et des fonds sombres, Eleonora Marton a créé de terribles monstres, qu’elle démonte littéralement dans les pages suivantes, saturées de couleurs joyeuses.
Dawid Ryski illustre avec une gaieté tranquille la vie d’une famille, au rythme des saisons, de la ville à la campagne, des joies de la neige à celles du jardinage ou de la chasse aux champignons.
Pour tout savoir sur la vie des coccinelles, un joli documentaire. Explications précises et dessins très clairs.
Une variation sur le thème des trois petits cochons, pour initier les enfants aux joies du travail en commun.Une variation sur le thème des trois petits cochons, pour initier les enfants aux joies du travail en commun.
Une petite chaise bleue, trop petite pour Sacha, va faire le tour du monde et le bonheur d’une foule de gens – jusqu’à revenir chez Sacha, qui la répare pour l’offrir à sa fille Apolline. De l’art de la récup’.
Espiègles et joyeuses, certaines chansons enfantines sont devenues des trésors de notre patrimoine. Nombreuses sont celles qui ont un double sens – car elles étaient d’abord chantées par les nourrices ou les soldats, dans les cabarets ou sur les grands chemins,...
« Chut… le hérisson, le renard, l’âne, le pélican et le crocodile sont endormis. Mais les yeux de l’otarie ne veulent pas se fermer ! » Idéal pour montrer qu’on n’est pas obligé de se laisser mener par le bout du nez au moment du coucher.
Cet album délicieusement illustré – sans mièvrerie aucune – joue sur l’alternance entre bons et mauvais jours, tristesses et joies. Ecrit en souvenir d’une mère et illustré par une jeune maman, cette déclaration d’amour est d’une simplicité désarmante, parce que cela fait tant de bien d’entendre dire « je t’aime ».
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