Paul Arène, Gourmandise, le n°59 du magazine TétrasLire
Dans ce délicieux et roboratif numéro 59 du magazine TétrasLire : des nouvelles joyeuses et gourmandes, des jeux et des recettes. Miam !
Dans ce délicieux et roboratif numéro 59 du magazine TétrasLire : des nouvelles joyeuses et gourmandes, des jeux et des recettes. Miam !
En conteur qui sait ce que conter veut dire, Carl Norac offre ici une version du conte d’Andersen, non pas condensée ou adaptée, mais augmentée. Les détails foisonnent, les dialogues fusent, les anecdotes prennent du volume… et cela se déguste à haute voix, en admirant les superbes illustrations de Claire de Gastold, colorées, vives et fleuries.
Chaque année, les animaux de la forêt se réunissent pour déguster une bonne galette. Celui qui aura la fève sera, pour un an, le roi de la forêt. Toutes les parts sont égales, mais il y en a qui essaient de tricher…
Avoir l’occasion de parler de ceux qui sont partis permet de les faire revenir un peu. Au revoir Monsieur Blaireau permet d’aborder le deuil avec douceur.
… « et tout ce qu’elle contient », précise la couverture. S’étant approchée des maisons des hommes, l’Ourse n’eut plus qu’une idée en tête : se construire une maison, pour elle et son Ourson. Mais est-ce vraiment une bonne idée ? Une fable animalière très actuelle.
La vie est tout sauf simple dans la forêt – elle n’est ni douce ni tendre, mais rude, et parfois violente, même – et surtout – pour un Bambi sans défense. Une version superbement illustrée.
Un petit renard, « un vrai », a perdu sa maman, mais retrouve du réconfort en câlinant une peluche à son image. Le renard en peluche que Katie croit avoir perdu.
Ce récit palpitant s’inspire des tapisseries médiévales les plus célèbres sur le thème de la Dame à la licorne. Les superbes illustrations de Vanessa Hié, à base de papiers découpés, nous entraînent dans ce monde enchanté, où fées, princesses et licornes délivrent les princes charmants.
« Nulle part ailleurs dans la région qu’à Mårbaka on distribue ainsi les cadeaux de Noël après avoir mangé le riz au lait traditionnel. Mais à Mårbaka subsistent d’anciennes coutumes et qui nous conviennent.»
« Le petit Henri Kerzuel vivait dans un phare depuis qu’il était tout petit. […] Il aimait ses escaliers interminables faiblement éclairés de minces meurtrières. Il vivait au rythme des marées. » Alors, quand son père criait « Voile en vue ! », il le rejoignait vite tout là-haut pour l’aider à actionner la lanterne...