Julien Billaudeau, Rien du tout
« Au début, il n’y avait rien. Rien du tout. » Imaginez une chambre si bien rangée que rien ne traîne. Enfin si, « ici ou là, il y avait quelques arbres. Mais ce n’était presque rien ».
« Au début, il n’y avait rien. Rien du tout. » Imaginez une chambre si bien rangée que rien ne traîne. Enfin si, « ici ou là, il y avait quelques arbres. Mais ce n’était presque rien ».
« Rouge flamboyant du soleil couchant, rouge des braises ou du volcan, des fraises ou du sang, mais aussi celui des petits poissons qui, dans leur bocal, frétillent en rond, ou encore… rouge des démons, batifolant dans la fournaise des enfers…»
« La renommée du petit Wolfie s’étendit bientôt dans toute la ville, et parvint jusqu’aux oreilles de l’Archevêque de Salzbourg. L’organiste lui apporta quelques-uns des morceaux que Wolfie avait écrits. L’Archevêque mit ses lunettes, regarda les notes et commença à chantonner. »
« 1 cercle, 2 points, 3 lignes, 4 rectangles… et voilà un prince ou une fée, une alsacienne ou encore un cow-boy », promet ce petit livre. J’ai aussi repéré un spationaute et un explorateur, la fée Clochette et le capitaine Crochet.
« Celui qui peut voir ignore à quel point la vue est un cadeau précieux. » Car nos yeux « nous ouvrent la porte du monde ». Mais « quand ce trésor disparaît, un autre don apparaît. » Apparaître, disparaître, ne pas être exactement ce qu’on attend mais être plus encore.
« Des tigres et des tortues géantes, des coatis, des espèces de crocodiles formidables qu’on appelle des yacarés, des ours, des flamants roses, des serpents d’une taille fantastique, des raies qui ont une puissance électrique comme des torpilles. »
On y entre par la Porte d’or. C’est la plus vaste résidence royale du monde. Sa façade est ornée de 140 têtes de lion dorées. Quel est ce palais célèbre ?
« La plus belle de toutes les étoiles, maîtresse, c’est la nôtre, c’est l’étoile du berger, qui nous éclaire à l’aube quand nous sortons le troupeau, et aussi le soir quand nous le rentrons. »
Dans ses pérégrinations, un jeune hérisson observe les us et coutumes des animaux de la forêt : pourquoi l’ours offre-t-il des offrandes au pied d’un arbre ? D’où vient la légende de la Grande Renarde ? Et les hérissons, ont-ils aussi un Grand Esprit ?
Le Petit Poucet et ses frères « heurtèrent à la porte, et une bonne femme vint leur ouvrir. Elle leur demanda ce qu'ils voulaient. Le petit Poucet lui dit qu'ils étaient de pauvres enfants qui s'étaient perdus dans la forêt, et qui demandaient à coucher par charité.»