Pierre Gripari, La Sorcière et le Commissaire
La Folie-Méricourt, pour une sorcière parisienne, n’est-ce pas une adresse du dernier chic ? Une sorcière qui décide de faire, à sa manière, le bonheur de ses proches voisins.
La Folie-Méricourt, pour une sorcière parisienne, n’est-ce pas une adresse du dernier chic ? Une sorcière qui décide de faire, à sa manière, le bonheur de ses proches voisins.
Dans ce Passage du nord-ouest, le romancier (pas encore célèbre), aidé par un « vrai » géographe, retrace le parcours de ces héros et les aventures authentiques qui les menèrent à la rencontre de l’inconnu.
« Ayez bien les yeux ouverts sur le monde entier, car les plus grands secrets se trouvent toujours aux endroits les plus inattendus. » Par exemple, dans ce vieil arbre de la Forêt Interdite que Petit Louis rêve d’explorer…
Sarah, Rémy et Lou, comme toutes les petites chouettes, vivent la nuit. Et elles ont beau être trois, ces petites chouettes, elles ont le cœur qui se serre quand leur maman s’envole… Leur nid est bien douillet, leur branche bien stable, mais la forêt est si grande, si sombre…
Aller demander à une vieille sorcière le moyen d’avoir un enfant, cela n’est pas sans risque… La Petite Poucette n’en fit pas moins le bonheur de ses parents, jusqu’à son enlèvement par un vilain crapaud.
Un format agréable, une typographie aérée, des illustrations soignées et le texte intégral : que demander de plus ?
Ce volume consacré aux contes et légendes de Suisse propose « une légende de chaque époque et de chaque genre, allant des âges fabuleux aux temps historiques, mettant en scène le diable, les dragons, les fées et les servants, ces personnages de la mythologie populaire, aussi bien que les héros de l’Histoire ».
« Il y avait une fois vingt-cinq soldats de plomb. Ils étaient tous frères car ils étaient nés d’une vieille cuiller de plomb. » Or certaines nuits sont magiques : celle du 31 décembre, et celle-là seulement, au moment des traditionnelles étrennes, permet aux jouets de s’animer et de vivre en leur nom les aventures que leurs petits propriétaires ne tarderont pas à imaginer pour eux.
Quand le grand explorateur Paul-Émile Victor (1907-1995) écrit et illustre cet album, nous sommes encore à l’époque où l’on dit Esquimau et non pas Inuit, où les papas ont des fusils et les enfants des couteaux, où l’ethnologue le plus respectueux ose montrer le joyeux désordre qui règne dans une hutte esquimaude…
A quatorze ans, le jeune Jan découvre la vie à bord du Geldermalsen, parti chercher, dans la Chine lointaine, une précieuse cargaison : du thé, mais aussi des lingots d’or. Ce roman historique plonge le lecteur dans l’univers maritime du XVIIIe siècle.