Hombeline Passot, Les grands classiques de la poésie française
De « Que sont mes amis devenus » de Rutebeuf à « L’enfant qui va aux commissions » de Claude Roy, Hombeline Passot a sélectionné plus de cent poèmes de la littérature française.
De « Que sont mes amis devenus » de Rutebeuf à « L’enfant qui va aux commissions » de Claude Roy, Hombeline Passot a sélectionné plus de cent poèmes de la littérature française.
« Pomme de reinette et pomme d’api, tapis, tapis rouge… » Une comptine suivie de « Meunier, tu dors », de « Quelle heure est-il ? », de « Voici ma main » et d’« Une poule sur un mur »
« Dans sa maison, un grand cerf regardait par sa fenêtre… » Qui ne connaît pas la comptine, et les mimiques qui aident à la chanter ? Dans cet album, après le lapin vient le renard, et après le renard… le chasseur.
« Pétales rouges et fragiles, un petit cœur noir, il danse au vent souple et léger, embrase champs, routes et fossés… » Autant d’éléments dispersés qui dansent sur la page en regard.
« Celui qui peut voir ignore à quel point la vue est un cadeau précieux. » Car nos yeux « nous ouvrent la porte du monde ». Mais « quand ce trésor disparaît, un autre don apparaît. » Apparaître, disparaître, ne pas être exactement ce qu’on attend mais être plus encore.
« Au milieu de nulle part, vit un oiseau sur son arbre. Un matin, un éclat de couleur passe à l’horizon. Poussé par la curiosité, l’oiseau quitte sa maison. » Notre oiseau d’or se lance dans un long voyage...
« C’était un lutin bizarre
qui habitait dans la mare.
Sur un saule il reste assis
il coud ses bottes toute la nuit. »
« Un jour qu’il se morfondait près d’une rivière,
Un héron l’approcha
avec pour projet d’en faire son repas.
- STOP !
Hurla l’escargot.
Non ! Ne me mangez pas ! »
« Un grand goûter est donné au château de Monte-Cristo… Après de joyeuses parties de colin-maillard, les enfants se sont réunis dans le petit salon de lecture. Ils réclament à grands cris un conte, un conte, un joli conte : ‘Eh bien, va pour un conte’, accepte Alexandre Dumas. »
« Cette nuit-là, la cigogne perdit l’œuf qu’elle transportait. Par chance, amorti par les nuages, il traversa le ciel sans ennui et atterrit doucement dans un nid. » Mais, quand de l’œuf sortit un poussin tout gris, l’aventure ne faisait que commencer.