Dave Skinner, À force de crier Au Lion
Par trois fois, la ravissante Lucie Lupin fait croire qu’elle a vu un lion dans la bibliothèque. Purs mensonges, mais évacuation générale. Puis le doute s’installe… Jusqu’au jour un surgit un vrai lion !
Par trois fois, la ravissante Lucie Lupin fait croire qu’elle a vu un lion dans la bibliothèque. Purs mensonges, mais évacuation générale. Puis le doute s’installe… Jusqu’au jour un surgit un vrai lion !
Une petite chaise bleue, trop petite pour Sacha, va faire le tour du monde et le bonheur d’une foule de gens – jusqu’à revenir chez Sacha, qui la répare pour l’offrir à sa fille Apolline. De l’art de la récup’.
« Dans mon petit jardin, j’ai prévu de faire pousser des salades, des courgettes, des radis, des fraises et du persil ! » Au travail, jeune jardinière ! Un guide de jardinage écolo et rigolo, plein de bonne humeur, à vite partager avec son grand-père.
Cet album délicieusement illustré – sans mièvrerie aucune – joue sur l’alternance entre bons et mauvais jours, tristesses et joies. Ecrit en souvenir d’une mère et illustré par une jeune maman, cette déclaration d’amour est d’une simplicité désarmante, parce que cela fait tant de bien d’entendre dire « je t’aime ».
« - Comme ces pommes ont l’air savoureuses ! Tu m’en donnes une ? Pierre lui lance une pomme. – Misère de misère ! dit la sorcière, elle est tombée par terre. » Deux fois, Pierre saura lui jouer un tour à sa façon et se sauvera de ses griffes. Mais la troisième fois ? Qui ira cuire dans le four ?
A toutes les questions du petit raton laveur, sa maman répond inlassablement : « Attends. Attends que la lune soit pleine. » Et des questions, il en pose ! Et des réponses sa maman en trouve, poétiques et enjouées ! Ah, cette vertu de patience, qu’elle est difficile à acquérir…
Un mode d’emploi très clair et de superbes autocollants pour transformer des cartons d’emballage en fusée spatiale.
Une malicieuse petite grenouille aimerait figurer sur une toile de Monet. L’occasion d’une belle promenade en peinture dans les jardins de Giverny.
Quand les enfants français chantent « La petite bête qui monte », leurs cousins allemands entonnent « Kommt eine Maus ». « Petit escargot » ? C’est « Die kleine Schnecke Max ». Et le grand cerf dans la forêt ? Il accueille aussi « ein Häslein », un petit lièvre apeuré. Ces comptines ont été choisies pour leurs correspondances et leurs airs faciles à mémoriser.
« Ce matin, comme tous les matins, pour aller à l’école, je passe avec maman devant un champ en friche. » « En friche », en voilà un mot savant !