Virginie Morgand, ABC du marin
De « A comme l’ancre que tu remontes », à « ZZZ comme ton sommeil après ce long périple », en passant par « S comme les sirènes sur l’île », cet abécédaire coloré invite à un beau voyage sur mer.
De « A comme l’ancre que tu remontes », à « ZZZ comme ton sommeil après ce long périple », en passant par « S comme les sirènes sur l’île », cet abécédaire coloré invite à un beau voyage sur mer.
« Au petit matin, Ecureuil, en premier, montra le bout de son nez. En chemin, il passa à côté du repaire de Chouette qui venait à peine de s’endormir après une longue nuit de veille. - Tu dormiras quand tu seras vieille ! lui dit Ecureuil. Les autres sont déjà en route. »
« Moi, j’aime Noël et retrouver tous mes cousins. Les voilà ! Derrière les rochers… » Il suffit en effet des soulever le petit volet pour découvrir les cousins des ours. Et le bouquetin, aime-t-il aussi fêter Noël ?
Le 1er décembre, « au pôle Nord, tous les amis du Père Noël arrivent pour l’aider », comme cet ours sur sa luge. Le 7 décembre, « dans les rues, les décorations sont installées » et le 10, « Ça y est ! Le sapin est décoré ! »
« Le vent souffle. Dans la forêt une petite lumière fait un rond jaune sur la neige : c’est la fenêtre de la famille Souris. » A quoi donc peut s’occuper la famille Souris pendant le long hiver japonais ?
Dessiner des papillons autour de Tom Chaton et de Mitoufle, ou des noisettes cueillis par les écureuils sur l’île du vieux hibou…
« La pâle lune d’hiver brillait au-dessus de l’arbre, qui abritait le renard… » Le renard, le chat, les oiseaux… Tous laissent leurs traces dans la neige. Les illustrations, naturalistes, sont aussi poétiques que britanniques, charmantes sans mièvrerie. Un grand classique.
« Un lion surveille du coin de l’œil sa troupe tumultueuse. Dans l’or de la savane, il se rafraîchit. Un miroitement attire son regard, quelque chose avance dans les hautes herbes : un concurrent à son trône ? » Il est là, en pleine page, et nous observe, les yeux dans les yeux.
« Il était une fois quatre petits lapins qui s’appelaient Flopsaut, Trotsaut, Queue-de-Coton et Pierre. Ils habitaient avec leur mère sur un banc de sable à l’abri des racines d’un grand sapin. » Qui ne connaît par cœur le début de l’histoire de Pierre Lapin, le seul à porter un prénom « humain », et le plus attachant de la fratrie ?
« Pour être un chevalier, il faut… un casque, une épée, une armure, un bouclier et du courage ! « Notre petit chevalier n’en manque pas !