Isabelle Huiban, Mon cahier Steiner Waldorf
Favoriser « le bien-être physique, le sens artistique » et stimuler l’imagination créatrice des enfants : tel est le projet de ce gros cahier d’activités de nature.
Favoriser « le bien-être physique, le sens artistique » et stimuler l’imagination créatrice des enfants : tel est le projet de ce gros cahier d’activités de nature.
« Les petits pois se cachent dans une gousse », « un cornichon est un bébé concombre »… Et le chou rouge, la betterave, le maïs, la carotte, comment se présentent-ils ?
« Abeille est travailleuse. Elle butine le nectar et collecte le pollen des fleurs. Pendant ses allers-retours à la ruche, elle ne peut s’empêcher d’observer la drôle de danse d’Épeire. » Et quand, par mégarde, elle se prend les pattes dans la toile, c’est l’occasion toute trouvée pour nos deux commères de faire connaissance.
« Les loups vivent en groupe, qu’on appelle une meute. Le loup dominant et sa femelle sont les chefs de la meute. Ils peuvent rester ensemble toute leur vie. »
Deux fillettes profitent du retour du soleil pour partir en promenade « au fond des bois ». Quand soudain… « ma grande sœur a disparu. Il n’y a plus une trace d’elle, à part le paquet de gâteaux.
« Bientôt, sans doute, cette chenille se fera papillon. Et elle s’envolera. Mais lequel de ces papillons sera-t-elle devenue ? » Peut-être, sans doute, ce n’est pas sûr… Comment expliquer à un enfant que demain est un savant mélange de certitudes (après la nuit...
Automne : l’ourse « dévore les derniers fruits de l’été » - quelle chance, des myrtilles ! Hiver : l’ourse ne fait qu’une avec la neige. Printemps : ce n’est pas vraiment la faim qui la réveille…
« Bonjour, moi c’est Léon », affirme tout de go un charmant bout de chou. Qui, en revenant de l’école ne trouve plus son Doudou.
« Nous allons à la chasse à l’ours. Nous allons en prendre un très gros. La vie est belle ! Nous n’avons peur de rien. » Tous ensemble, Papa, Maman, ma sœur et moi - ou mon frère et moi, car qui raconte ? – sans oublier le chien.
« L’arbre m’a dit… qu’au début on est presque rien. » mais « qu’on peut être à la fois fort et petit », « qu’il y a plein de chemins », que l’on peut « vivre les tempêtes » et même que, parfois, « il y a de l’inacceptable », quand, ici, le renard s’enfuit avec sa proie.