Lorea De Vos, Doudou, où es-tu ?
« Bonjour, moi c’est Léon », affirme tout de go un charmant bout de chou. Qui, en revenant de l’école ne trouve plus son Doudou.
« Bonjour, moi c’est Léon », affirme tout de go un charmant bout de chou. Qui, en revenant de l’école ne trouve plus son Doudou.
« De qui je parle ? a ricané l’homme. Il veut savoir de qui je parle, le gamin ! D’un fantôme, mon gars, et même que si tu l’avais vu, a-t-il ajouté en baissant la voix, tu ne dormirais pas plus que moi. »
« Sophie grandit dans une famille de musiciens. Tout le monde joue de la flûte. […]Comme elle est la plus petite, elle doit jouer sur la plus petite flûte, ça va de soi. Elle trouve ça nul. »
Le jeune Yang vit au cœur des montagnes de Chine, il est berger – et s’ennuie un peu à garder ses moutons. Pourquoi ne pas faire une bonne farce aux villageois en criant « au loup ! » ? Une fois, deux fois… Les paysans se lassent d’être dérangés pour rien dans leurs travaux.
Maintenant ou demain ? Seul ou à plusieurs ? Riche ou pauvre ? Le soleil ou le vent ? Avec ou sans chemise ? Juste ou injuste ? Les personnages mis en scène dans ces contes très brefs de Léon Tolstoï se posent – et nous posent - des questions qui ne se révèlent pas anodines.
« L’enseigne, surtout, la ravissait. C’était un médaillon au centre duquel une religieuse nappée d’un rose pâle était entourée de branchages dorés. Au-dessus, de grandes lettres dorées affichaient fièrement le nom de l’établissement : « À l’Heure gourmande, salon de thé ». Lucille hocha la tête, sourit. »
Dans notre monde, les quatre éléments fondamentaux sont le feu, l’air, la terre et l’eau – lesquels servent de titres aux quatre premiers tomes de cette épopée. Mais en Irlande, il faut ajouter le brouillard qui leur emprunte quelques-unes de ses qualités…
« C’est sous le règne de Louis XVI qu’est entreprise la rénovation de la flotte. Le 23 octobre 1778, le Conseil de Marine tenu à Rochefort décide de la construction de l’Hermione d’après les plans qui ont déjà servi à la Courageuse et la Concorde. »
« Nous allons à la chasse à l’ours. Nous allons en prendre un très gros. La vie est belle ! Nous n’avons peur de rien. » Tous ensemble, Papa, Maman, ma sœur et moi - ou mon frère et moi, car qui raconte ? – sans oublier le chien.
Svetlana. Ce n’est pas un prénom courant à Paris en 1774. Si elle vit rue Saint-Paul, la jeune adolescente sait qu’elle a été adoptée par ses « parents français », mais ignore pourquoi. A la mort de sa mère adoptive, elle décide son père de partir pour Saint-Pétersbourg, où une recommandation de son ami Diderot devrait lui permettre de rencontrer Catherine II.