Igor Davin et Nicolas Martelle, Les Vikings
Dix-sept dieux vikings et un très beau panorama de la civilisation nordique, sous la bonne garde de Mimir, dieu de la mémoire.
Dix-sept dieux vikings et un très beau panorama de la civilisation nordique, sous la bonne garde de Mimir, dieu de la mémoire.
Cette vague, depuis quand la voyons nous suspendue, figée dans ce pur instant d’éternité ? Elle symbolise pour nous à elle seule l’estampe japonaise, et se trouve comme il se doit en couverture ce cet album consacré à Hokusai (1760-1849).
Paris ? Londres ? Rouen ? Si cette ville n’est pas nommée, sa situation au bord d’un fleuve, la présence des Romains, puis des Vikings, nous fait déjà deviner que nous sommes quelque part en Occident.
Quand revient la saison des cèpes, pourquoi ne pas lire quelques contes périgourdins ? Il s’y cache souvent une bonne recette, ou le souvenir ému d’un festin de roi, à la fin duquel un troubadour fait sonner sa viole.
« Le tueur de lions, stupéfait, se frotta les yeux… Lui qui se croyait en plein désert !… Savez-vous où il était ?... dans un carré d’artichauts, entre un plant de choux-fleurs et un plant de betteraves. Son Sahara avait des légumes... » Inoubliable Tartarin !
Imaginez, en 1881, une femme d’ingénieur en cheveux courts et pantalon ! Cela choque, mais n’est-ce pas beaucoup plus simple, pour parcourir 6000 kilomètres à cheval - en 14 mois ? Surtout en Perse ! Archéologue, photographe, ethnologue, journaliste, Jane Dieulafoy (1851-1916) n’a rien fait à demi.
« Mais ils n’admettront aucune excuse. Nous avons franchi la limite, cela suffit. S’ils nous prennent, ils nous envoient en Sibérie dans les mines de sel ! Quant à l’Oncle Sam, il n’en saura rien. » Brrr, que de sinistres perspectives ! Qu’a donc fait la Mary Thomas pour que John Lewis harangue ainsi les matelots de la goélette ? Quelle solution vont-ils trouver ?
Un beau matin d’août 1768, Nicholas Young, 11 ans, se cache à bord d’un petit trois-mâts. L’Endeavour l’emmènera vers des aventures qu’il n’aurait jamais pu soupçonner. Et pour cause : le maître à bord n’est autre que le capitaine Cook !
De la magie des automates à celle du cinéma, du temps des horloges à celui des trains, du chagrin d’un enfant à l’amitié d’un vieux farfelu… Hugo Cabret n’est pas seul, Georges Méliès veille sur lui… depuis la Lune ?
On le dit… mais on ignore tout de son existence. C’est dans cette brèche que Bruno Maurer a trouvé son miel, un bon miel de l’Hymette au goût de thym – et d’aventures. Mêlant avec astuce l’histoire, le mythe, la littérature et sa propre intuition, il laisse parler Homère, le « premier des poètes », de son enfance insouciante au terrible drame qui lui vaut sa cécité.